Cunnilingus, rien que ce terme fait rougir certaines femmes. Il rappelle de très bons souvenirs pour d’autres. Le fait de stimuler les parties externes du sexe féminin par la langue soulève aussi divers questionnements. Voici quelques notions qui peuvent mettre en garde et rassurer.
Le cunnilingus comporte de vrais risques
Si vous vous demandez si « brouter le minou » comme l’expression populaire l’indique peut rendre malade. La réponse est oui, le cunnilingus peut être à l’origine de nombreuses infections. Cette pratique augmente le risque de transmettre des agents pathogènes. Le partenaire sexuel s’expose notamment à la blennorragie et à l’herpès. La probabilité de contracter le papillomavirus est également réelle. Ce virus cause le cancer de la gorge. Par contre, le risque de transmission du VIH reste minime, sauf pendant les règles.
La pratique serait plus plaisante si…
Au fil des pratiques, les adeptes du cunnilingus confirment que cet exercice sexuel serait beaucoup plus agréable si la vulve est entièrement épilée. Il n’y a pas de risque d’avaler un poil. Ce sera plus que désagréable. C’est aussi une manière de limiter l’accumulation de microbes. Parfois, l’épilation pelvienne peut transmettre un message au partenaire ou tout simplement être une anticipation à toutes les éventualités. Bref, un cunnilingus devrait se faire dans les meilleures conditions d’hygiène qui soient.
Encore mieux avec la bonne technique
La pudeur, la crainte d’une infection ou d’autres raisons font en sorte que les femmes n’aiment pas toutes le cunnilingus. Les hommes non plus ne sont pas tous capables de le pratiquer. Cela dit, la connaissance de la bonne technique peut faire évoluer la situation. Le mieux serait de lécher le clitoris avec une certaine vigueur. Cette zone très érogène ne résistera pas longtemps avant de déclencher un orgasme. Il faudra directement enchainer avec une pénétration pour que cet agréable moment dure.